Environnement

Le CO2 poursuit son ascension dans l’atmosphère

Le taux de Co2 vient à nouveau d’augmenter considérablement, soit 419 parties par million (ppm) dans les airs . C’est un nouveau record pour ce dernier qui se montre indifférent face à la pandémie du coronavirus.

Le CO2 (dioxyde de carbone) est le facteur clé du réchauffement climatique. Les résultats relevés par la base de données à la station météorologique de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) révèlent que l’utilisation accrue des combustibles fossiles, de la déforestation et autres pratiques entraînent des émissions de carbone pouvant apporter des conséquences catastrophiques.

Dans un rapport de Pieter Tans, scientifique à la NOAA, on peut notamment lire que « les 419 parties par million de CO2 proviennent des instruments qui servent à enregistrer ces données. Ils indiquent un peu plus que les 417 parties relevées l’année dernière au mois de mai ». Elles tiennent leur origine du volcan Mauna Loa situé à Hawaï. Il faut penser à limiter la propagation du carbone par tous les moyens. C’est dans l’intérêt du bien-être de l’humanité.

Le temps presse. Malgré la pandémie de coronavirus, le CO2 se montre indifférent en atteignant son point le plus haut dans l’atmosphère. Selon l’Agence nationale océanique et atmosphérique (NOAA), le seuil des  419 parties par million (ppm), unité de mesure utilisée pour quantifier la pollution dans l’air, a été franchi en mai 2021*. Le mois de mai est généralement celui avec le plus fort taux CO2, ce chiffre inquiète fortement les scientifiques dans un contexte où l’activité a largement ralenti du fait de la crise du Covid-19. Tout porte à croire que cela constitue un grand danger que les scientifiques eux prévoient à l’inverse des citoyens qui ne montrent pas de signe d’inquiétude non plus. L’humanité court à sa perte pour cause d’insouciance venant de ces derniers pourtant cela concerne la terre dans son entièreté.