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Le divorce d’Achraf Hakimi : une leçon a tirer pour les athlètes professionnels

Par Alexandre Arkhurst

Des rapports récents ont fait la lumière sur la procédure de divorce en cours entre Achraf Hakimi, le footballeur marocain qui joue actuellement au Paris Saint-Germain, et sa femme Hiba Abouk. Il a été rapporté qu’Abouk avait demandé 50 % des biens de Hakimi dans le cadre de la procédure de divorce, mais il semble que Hakimi ait pris des mesures pour protéger ses biens.

Selon certaines rumeurs, Hakimi aurait transféré la propriété de tous ses biens au nom de sa mère, les mettant ainsi à l’abri de toute réclamation potentielle de la part de son ex-femme. Cette démarche n’est pas rare dans les cas de divorce de personnes fortunées, qui peuvent prendre des mesures pour protéger leurs biens et réduire l’impact financier d’un accord de divorce.

Bien que l’on ne sache pas si Abouk était au courant du transfert d’actifs de Hakimi, il est probable que cela aura un impact significatif sur le règlement du divorce. N’ayant aucun bien à son nom, il pourrait être difficile pour Abouk de réclamer une part quelconque des biens de Hakimi, en particulier s’ils ont été acquis après leur mariage.

Pour les personnes possédant de multiples biens comme les athlètes professionnels, les contrats prénuptiaux et les stratégies de protection des actifs sont particulièrement importants. Ils permettent de s’assurer que les actifs sont divisés de manière équitable et de se prémunir contre toute réclamation éventuelle de la part d’un ex-conjoint.

Cette situation souligne donc l’importance de la protection des actifs et de la planification financière dans les cas de divorce. Bien qu’il reste à voir quel sera l’impact sur le règlement du divorce, il est clair que les personnes fortunées doivent prendre des mesures pour protéger leurs actifs et garantir une résolution juste et à l’amiable de toute procédure de divorce.